3 conseils clefs pour lutter contre le syndrome de l’imposteur

Amis actifs, Bonjour !

Bienvenue dans les petites chroniques de Cindy, les conseils Tremplin pour booster votre carrière !

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour pour partager avec vous quelques astuces clefs en vue de lutter contre le syndrome de l’imposteur.

Ce “syndrome” qui relève d’un sentiment d’illégitimité et sous-tend une forme de dévalorisation excessive de son propre travail n’est pas des plus évidents à combattre ! Toutefois, voici pour vous quelques astuces hautement bienvenues y parvenir :

 

Conseil n° 1 : Sortir du faux regard de l’autre

Les personnes qui ne se reconnaissent de valeur que dans le regard de l’autre ont tendance à croire que les autres en question passent un temps considérable à  les observer ou à les évaluer. Or, bien souvent, ce ne sont pas les autres qui nous sous-évaluent, mais nous-mêmes ! En d’autres termes, nous pouvons nous économiser l’inquiétude du regard de cet autre qui, lui aussi, est surtout occupé à s’auto-évaluer lui-même !

 

Conseil n°2 : Poser un regard bienveillant sur soi

Habitués aux critiques acerbes que nous formulons sur nous-mêmes, nous finissons par nous imaginer que les autres ont autant de discours négatifs sur nous que nous en avons sur nous-mêmes. Probablement à tort, car les autres ont en général un regard à la fois plus objectif et bienveillant que nous. Et bienveillant ne veut pas dire complaisant !

L’idée qu’ils se font de nos capacités est souvent plus juste que la nôtre ! Aussi, écoutons les collègues, les n+1 qui nous ont accordé ces promotions ou confié ces dossiers complexes ! Ils ont plus confiance en nous que nous-mêmes !

 

Conseil n°3 : Reconnaître ses accomplissements

Souvent, lorsqu’on parle de syndrome de l’imposteur, le premier conseil que l’on nous donne est de reconnaître ses réussites. Ce conseil est parfaitement judicieux. Toutefois, le problème, c’est qu’un imposteur auto-étiqueté, par définition, est convaincu qu’il ne mérite pas de réussir !

C’est la raison pour laquelle j’aurais tendance à opter pour le terme accomplissement au sens littéral de ce qui nous avons accompli, et donc terminé, fini ou achevé !

Revenir à ce que nous avons accompli, c’est se donner l’autorisation de réintroduire la dimension du plaisir via l’idée de percevoir ce que nous avons fait, ce que nous sommes contents d’avoir réalisé ou qui a sur générer un sentiment agréable chez nous.

Au diable donc les grandes réussites !


La valorisation se trouve aussi dans les petites choses du quotidien ! Vous voici désormais armés pour lutter au mieux contre le syndrome de l’imposteur !
Rendez-vous prochainement pour une nouvelle chronique en lien avec le monde passionnant du travail !

 

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro !

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