Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour en vue de vous présenter ce type de management dont on entend beaucoup parler, à savoir le management participatif !

Traditionnellement, les entreprises ont tendance à mettre en place un style de management directif : le manager dit aux salariés ce qui doit être fait, chacun remplit ses missions en rendant des comptes, et le projet est ainsi mené à bien. Mais il existe d’autres options, qui remettent en question ces habitudes.

Concrètement, le management participatif se traduit par un dialogue permanent, à travers par exemple des discussions hebdomadaires au cours desquelles les participants parlent d’un problème à régler ou d’un objectif à viser. Chacun donne son avis sur la solution à apporter, le but étant d’atteindre un consensus.  

Pour cela, le manager endosse un rôle d’animateur plus que de supérieur hiérarchique et doit faire preuve d’écoute, de capacité à déléguer et d’une bonne aptitude à la communication.

Instaurer un management participatif suppose de respecter 5 grands principes.

  • Principe n°1 : Tout le personnel de l’entreprise doit être mobilisé afin de valoriser les collaborateurs.
  • Principe n°2 : Il convient de rendre les collaborateurs autonomes, de leur permettre de travailler à leur façon, de les responsabiliser et de les consulter.
  • Principe n°3 : Parce qu’il repose sur l’écoute et la communication, le management participatif implique d’aider les managers et les salariés à renforcer leur savoir-être .
  • Principe n°4 : Le management participatif part du principe que les personnes touchées par un problème sont les mieux qualifiées pour le résoudre. La direction n’intervient donc qu’en dernier recours, si l’équipe ne parvient pas à gérer la situation seule.
  • Principe n°5 : Lorsque chacun peut s’exprimer, des problèmes peuvent se présenter, notamment en cas de désaccord. Le rôle du manager est d’établir des règles afin que les discussions se déroulent sans accroc.  

A noter que si les avantages d’un tel management sont nombreux, il existe aussi certains freins à son utilisation.

Recueillir les avis de chacun prend du temps et allonge de fait considérablement les processus de décision, les opinions étant parfois diamétralement opposées, ce qui signifie par ailleurs que tout le monde n’est pas toujours d’accord, voire que personne n’est totalement satisfait de la solution finalement adoptée.

Quoi qu’il en soit, vous voici désormais armés pour mieux appréhender les contours du management participatif !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

Le management participatif : avantages et inconvénients

Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour en vue de vous présenter ce type de management dont on entend beaucoup parler, à savoir le management participatif !

Traditionnellement, les entreprises ont tendance à mettre en place un style de management directif : le manager dit aux salariés ce qui doit être fait, chacun remplit ses missions en rendant des comptes, et le projet est ainsi mené à bien. Mais il existe d’autres options, qui remettent en question ces habitudes.

Concrètement, le management participatif se traduit par un dialogue permanent, à travers par exemple des discussions hebdomadaires au cours desquelles les participants parlent d’un problème à régler ou d’un objectif à viser. Chacun donne son avis sur la solution à apporter, le but étant d’atteindre un consensus.  

Pour cela, le manager endosse un rôle d’animateur plus que de supérieur hiérarchique et doit faire preuve d’écoute, de capacité à déléguer et d’une bonne aptitude à la communication.

Instaurer un management participatif suppose de respecter 5 grands principes.

  • Principe n°1 : Tout lpersonnel de l’entreprise doit être mobilisé afin de valoriser les collaborateurs.
  • Principe n°2 : Il convient de rendre les collaborateurs autonomes, de leur permettre de travailler à leur façon, de les responsabiliser et de les consulter.
  • Principe n°3 : Parce qu’il repose sur l’écoute et la communication, le management participatif implique d’aider les managers et les salariés à renforcer leur savoir-être.
  • Principe n°4 : Le management participatif part du principe que les personnes touchées par un problème sont les mieux qualifiées pour le résoudre. La direction n’intervient donc qu’en dernier recours, si l’équipe ne parvient pas à gérer la situation seule.
  • Principe n°5 : Lorsque chacun peut s’exprimer, des problèmes peuvent se présenter, notamment en cas de désaccord. Le rôle du manager est d’établir des règles afin que les discussions se déroulent sans accroc.  

A noter que si les avantages d’un tel management sont nombreux, il existe aussi certains freins à son utilisation.

Recueillir les avis de chacun prend du temps et allonge de fait considérablement les processus de décision, les opinions étant parfois diamétralement opposées, ce qui signifie par ailleurs que tout le monde n’est pas toujours d’accord, voire que personne n’est totalement satisfait de la solution finalement adoptée.

Quoi qu’il en soit, vous voici désormais armés pour mieux appréhender les contours du management participatif !

Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.

Roman Cindy TRIAIRE - Au delà des nuages le soleil brille

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