Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour en vue de vous présenter ce type de management dont on entend beaucoup parler, à savoir le management participatif !
Traditionnellement, les entreprises ont tendance à mettre en place un style de management directif : le manager dit aux salariés ce qui doit être fait, chacun remplit ses missions en rendant des comptes, et le projet est ainsi mené à bien. Mais il existe d’autres options, qui remettent en question ces habitudes.
Concrètement, le management participatif se traduit par un dialogue permanent, à travers par exemple des discussions hebdomadaires au cours desquelles les participants parlent d’un problème à régler ou d’un objectif à viser. Chacun donne son avis sur la solution à apporter, le but étant d’atteindre un consensus.
Pour cela, le manager endosse un rôle d’animateur plus que de supérieur hiérarchique et doit faire preuve d’écoute, de capacité à déléguer et d’une bonne aptitude à la communication.
Instaurer un management participatif suppose de respecter 5 grands principes.
A noter que si les avantages d’un tel management sont nombreux, il existe aussi certains freins à son utilisation.
Recueillir les avis de chacun prend du temps et allonge de fait considérablement les processus de décision, les opinions étant parfois diamétralement opposées, ce qui signifie par ailleurs que tout le monde n’est pas toujours d’accord, voire que personne n’est totalement satisfait de la solution finalement adoptée.
Quoi qu’il en soit, vous voici désormais armés pour mieux appréhender les contours du management participatif !
Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.
Me voici très heureuse de vous retrouver ce jour en vue de vous présenter ce type de management dont on entend beaucoup parler, à savoir le management participatif !
Traditionnellement, les entreprises ont tendance à mettre en place un style de management directif : le manager dit aux salariés ce qui doit être fait, chacun remplit ses missions en rendant des comptes, et le projet est ainsi mené à bien. Mais il existe d’autres options, qui remettent en question ces habitudes.
Concrètement, le management participatif se traduit par un dialogue permanent, à travers par exemple des discussions hebdomadaires au cours desquelles les participants parlent d’un problème à régler ou d’un objectif à viser. Chacun donne son avis sur la solution à apporter, le but étant d’atteindre un consensus.
Pour cela, le manager endosse un rôle d’animateur plus que de supérieur hiérarchique et doit faire preuve d’écoute, de capacité à déléguer et d’une bonne aptitude à la communication.
Instaurer un management participatif suppose de respecter 5 grands principes.
A noter que si les avantages d’un tel management sont nombreux, il existe aussi certains freins à son utilisation.
Recueillir les avis de chacun prend du temps et allonge de fait considérablement les processus de décision, les opinions étant parfois diamétralement opposées, ce qui signifie par ailleurs que tout le monde n’est pas toujours d’accord, voire que personne n’est totalement satisfait de la solution finalement adoptée.
Quoi qu’il en soit, vous voici désormais armés pour mieux appréhender les contours du management participatif !
Belle journée à toutes et à tous et à très bientôt pour de nouvelles aventures Pro.
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